Date : dimanche 22 mai 2022 (oui, je suis vraiment à la bourre !)

Massif : Mandallaz

Cavité : Pesse Vieille

Météo : beau, très chaud

Participants : Amandine, Achille, Hugues

 

Amandine et moi retrouvons Achille vers 10h au parking. Entrée dans le trou vers 11h.

Amandine et Achille désobstruent la galerie de sable avec la grosse pelle, pendant que je perce et charge pour supprimer le passage (très) bas dans le boyau au-delà du siphon temporaire.

A mon 1er retour, Amandine et Achille ont déjà accompli un travail impressionnant !

Malheureusement, le rocher est très fracturé dans le passage bas, et l’effet escompté n’est pas atteint. J’y retourne donc, pendant que Amandine et Achille poursuivant leur travail.

De mon côté, nouvel échec : ça fait à nouveau « pschitt » dans les fissures. Je m’y attaque donc au burineur.

De leur côté, Achille et Amandine sont parvenus dans une petite salle remplie de sable… et d’insectes. Pas de suite visible. Peut être sous le sable… mais où creuser ? Dans le sable de la salle, nous trouvons un crâne, a priori de chien. Mais que fait-il là ? Est-il ancien ou contemporain ?

Malheureusement, Amandine doit nous quitter car elle n’est pas disponible le reste de l’après-midi.

L’après midi, avec Achille, nous continuons à buriner le passage bas, jusqu’à ce qu’on puisse passer … mais sans le casque sur la tête.

Derrière, ça continue ! Nous parcourons plusieurs dizaines de mètres de joli boyau,  tantôt courbés tantôt en rampant. C’est bourré d’insectes.

L’extase s’achève dans une petite salle terminale, sans suite visible (fente horizontale impénétrable avec eau) . Nous ne pouvons même pas ouvrir la bouche tellement il y a d’insectes. 

A droite (en allant vers le fond), il y a toutefois 2 petits boyaux. Il y a de l’eau au fond de ceux-ci. En l’état, ils sont impénétrables, mais ils pourraient le devenir avec un peu « d’aménagements ».